Aldus ha scritto:C'è una contraddizione tra due affermazioni.
Prima si dice..."
secondo quanto dichiarato, l'aereo non si sarebbe distrutto" (presumo ci si riferisca a "
distrutto in volo")
ma avrebbe toccato l'acqua con una forte accelerazione verticale (il che lascia supporre che l'aereo si è distrutto per schianto diretto sul mare).
E poi si dice... "
l'unica novità è quella, già anticipata, di un impatto con l'acqua dell'aereo ancora relativamente integro".
Non ci siamo.
O l'aereo era
tutto integro (e si è distrutto per impatto diretto sul mare), o era
relativamente integro (ossia era già rotto in volo, si è distrutto in volo, e una grossa parte di esso, cadendo, si è poi distrutta per impatto sul mare).
Qual'è la versione giusta?

A pagina 71:
2 - PREMIERS Faits étab lis
Sur la base des premiers éléments rassemblés au cours de l’enquête, les faits
suivants ont été établis :
l’équipage détenait les licences et qualifications nécessaires pour effectuer
le vol,
l’avion avait un certificat de navigabilité en état de validité ; il était
entretenu conformément à la réglementation,
l’avion avait décollé de Rio de Janeiro sans problème technique connu,
sauf sur un des trois panneaux de gestion de la radio,
aucun problème n’a été signalé par l’équipage à Air France ou lors de ses
contacts avec les contrôleurs brésiliens,
aucun message de détresse n’a été reçu par les centres de contrôle ou par
d’autres avions,
il n’y a pas eu de communications téléphoniques par satellite entre l’avion
et le sol,
le dernier échange radio entre l’équipage et le contrôle brésilien a eu lieu
à 1 h 35 min 15. L’avion arrivait en limite de portée radar des centres de
contrôle brésiliens,
à 2 h 01, l’équipage a essayé, sans succès pour la troisième fois, de se
connecter au système ADS-C du contrôle de Dakar,
jusqu’au dernier point de position automatique, reçu à 2 h 10 min 34, le vol
s’est déroulé sur la route prévue dans le plan de vol,
la situation météorologique était conforme à celle que l’on rencontre au
mois de juin dans la zone de convergence intertropicale,
il existait un amas de cumulonimbus puissants sur la route de l’AF 447.
Certains d’entre eux pouvaient être le siège d’une turbulence marquée,
plusieurs avions qui ont évolué avant et après le vol AF 447, sensiblement
à la même altitude, ont altéré leur route pour éviter des masses nuageuses,
vingt-quatre messages automatiques de maintenance ont été reçus entre
2 h 10 et 2 h 15 via le système ACARS. Il ressort de ces messages une
incohérence des vitesses mesurées ainsi que les conséquences associées,
avant 2 h 10, aucun message de maintenance n’a été reçu du vol AF 447, à
l’exception de deux messages relatifs à la configuration des toilettes,
les procédures de l’exploitant et du constructeur mentionnent les actions
à accomplir par l’équipage lorsqu’il doute des indications de vitesse,
le dernier message ACARS a été reçu vers 2 h 14 min 28,
il n’y a pas eu de transfert du vol entre les centres de contrôle brésilien et
sénégalais,
entre 8 h et 8 h 30, les premiers messages de déclenchement d’alerte ont
été émis par les centres de contrôle de Madrid et de Brest,
les premiers corps et éléments de l’avion ont été retrouvés le 6 juin,
les éléments identifiés proviennent de l’ensemble des zones de l’avion,
leur examen visuel montre que l’avion n’a pas été détruit en vol ; il paraît
avoir heurté la surface de l’eau en ligne de vol, avec une forte accélération
verticale. (Il loro esame visuale [dei rottami] mostra che l'aereo non è stato distrutto in volo; sembrerebbe aver urtato la superficie dell'acqua in linea [assetto, traiettoria] di volo, con una forte accelerazione verticale)
Il documento ufficiale, dunque, accenna solo alla ipotesi di distruzione per impatto con l'acqua, non parla di danni strutturali in volo.
Il resto sono interpretazioni.